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Santé sociale : témoignage de condition de vie des étudiants

Beaucoup d’entre nous, les parents sont fiers d’envoyer leurs enfants à l’étranger parce qu’il a reçu une bourse. Le souci se trouve dans l’identification des conditions de vie de cet étudiant une fois sur place.

Une détresse totale pour les étudiants

Cette situation de solitude et de panique s’est manifestée surtout durant le confinement du Covid-19. Les conditions de vie des étudiants sont très lamentables, en plus de la famine, et pourtant, s’ils sont là, c’est pour rentrer chez eux avec un diplôme.
Deux cas sont identifiés pour ces étudiants qui partent finir leurs études dans une université étrangère. Soit c’est le gouvernement originaire de l’étudiant qui envoie ses élèves étudier à l’étranger, soit c’est le gouvernement étranger qui accepte sa candidature. Dans les deux cas, les étudiants sont toujours boursiers. L’apport de l’université est d’héberger ses étudiants et d’assurer son éducation. Le repas et tout le reste dépendent de l’accord entre les deux états, mais logiquement, c’est son état d’origine qui s’occupe du payement des frais scolaires et boursiers de l’étudiant. Normalement, les étudiants n’ont pas le droit de travailler, mais tout dépend du système de fonctionnement de ce pays, pour les petits boulots de vacances et le travail des étudiants.

 

Comment les étudiants vivaient-ils la crise du Covid-19 ?

Très mal, parce qu’ils ne peuvent plus supporter de ne plus faire des activités, de galérer à trouver de quoi se nourrir de tous les jours, et de voir le nombre de mortalités du covid-19 autour d’eux. Il y a des étudiants qui n’ont pas eu la chance de se loger dans un campus universitaire et se débrouillent pour payer leur loyer. 

Les cours se passaient en ligne, et les étudiants ont du retard à rattraper. Tellement, la dépression est pesante, que beaucoup de ces étudiants pensent au suicide. Pour les étudiants qui viennent de débarquer en 2020, jusqu’en mois de février 2021, ils n’ont pas pu nouer une relation amicale au campus, et encore de rencontrer leurs professeurs.

C’est vrai que la jeunesse n’est pas consommée à sa juste valeur durant la crise sanitaire, pas de sortie, pas de contact ni de soirée, c’est une vie asociale qui agace ces étudiants, mais qui leur donne aussi un bon élan d’affronter l’année prochaine normalement.